Chapitre 1814 Les loups sont là

Avec un air solennel, Zhang Tianze baissa délibérément la voix et continua : — Pouvez-vous deviner ce que j'ai fait ensuite ? Eh bien, je l'ai frappé violemment avec la pelle. Ça l'a désorienté. Même s'il y en avait deux, je n'avais pas peur. Si je ne pouvais pas les vaincre, nous péririons tous ensemble. Cependant, c'était une pensée naïve de ma part. J'avais suffisamment d'énergie pour affronter un loup. Mais deux ? Tout ce que je peux dire, c'est que j'ai fait de mon mieux. Il était clair, à la manière dont les deux loups travaillaient ensemble de manière fluide, qu'ils étaient un couple d'animaux appariés. Ils étaient si féroces que n'importe qui aurait tremblé de peur, mais je n'avais toujours pas peur. J'étais déterminé à en tuer au moins un pour que nous puissions goûter à la viande de loup. Après un combat long et intense, j'ai finalement abandonné. Nous sommes arrivés à une impasse. Bien que j'aie eu l'avantage, combattre contre deux adversaires n'était pas une promenade de santé, d'autant plus que mes adversaires étaient un couple d'animaux sauvages. C'était contrariant de les laisser partir comme ça. Ils ont dû sentir à quel point j'étais redoutable car ils ont finalement reculé et ont fui. Comme dit le dicton, ne poursuivez pas un ennemi désespéré. De plus, j'étais sur leur territoire. Je les ai donc laissés partir et suis rentré seul avec deux poules.