Chapitre 225 Mon Dieu Francis est mort
Oui, c'était notre chanson. Et ça n'aurait pas pu être une autre. Une vieille chanson que personne n'écoutait, sauf lors des bals de printemps, mais dont nous étions les seuls à savoir à quel point elle était importante pour nous. Et pas seulement à cause des paroles. Simplement parce qu'un jour, elle a été jouée à un moment important où nous étions ensemble et qu'ensuite, nous avons su qu'elle faisait partie de notre petit monde de barbe à papa, de visites nocturnes par la fenêtre, de ballades...
Nos corps se sont rencontrés, écartés par mon énorme ventre qui portait notre fils.
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