Chapitre 212 Tu es étrange
C’était la peinture.
Ce gigantesque œil menaçant qui fixait du mur—une unique pupille d’un noir d’encre, irradiant une froideur qui s’insinuait jusqu’aux os. Un froid qui rampait le long de la colonne vertébrale, s’accrochait à la peau comme une gelée invisible.
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