Chapitre 5 : Jasmine, la salope

Point de vue de Hardin La dernière chose à laquelle j'aurais pu penser après une longue journée épuisante à l'école était de lever les yeux pour trouver Jasmine en train de me regarder baiser l'une de mes conquêtes, Doreen ou Delilah ou peu importe son prénom. Une minute, elle n'était pas là et la suivante, elle était là, les yeux grands ouverts alors qu'elle me regardait baiser une autre fille. J'avais réalisé qu'elle ne semblait pas avoir remarqué que je l'avais surprise entrain de nous regarder et j'avais décidé de lui donner un spectacle pour voir si elle s'enfuirait. Cette garce ne l'a pas faitmais bien au contraire, elle est resté là pour me regarder jusqu'au bout, ses grands yeux verts grands et curieux, et ses lèvres rosées légèrement entrouvertes comme si elle voyait quelqu'un se faire baiser pour la toute première fois. La raison pour laquelle elle avait l'air si surprise et embarrassée alors qu'elle se faisait probablement baiser fréquemment me dépassait. Je devrais lui donner une leçon sur le fait de ne pas se mêler de ce qui ne la regardait pas le plus tôt que possible. Il semblait qu'elle avait oublié que je ne voulais pas d'elle et de sa mère opportuniste dans ma maison vu que j'étais resté silencieux pendant toute une semaine. Si j'ai opté garder le silence, c'était parce que je voulais qu'elle baisse sa garde. Je voulais qu'elle et sa mère pensent qu'elles avaient gagné. Je voulais que mon père croie vraiment que son avertissement de rester loin de sa précieuse nouvelle famille avait atteint mon crâne épais. Mais là, elle va devoir expliquer la raison pour laquelle elle avait soudainement pensé qu'elle pouvait entrer dans ma chambre quand bon lui semblait. Peut-être croyait-elle vraiment qu'elle faisait désormais partie de la famille vu qu'elle avait emménagé dans le manoir avec sa mère et avait réussi à obtenir une chambre à côté de la mienne. — Je lui montrerai ce qui arrivait aux gens qui me défiaient. marmonnai-je intérieurement. Alors que je fermais les yeux sous la douche, entendant mon alarme d'avertissement que j'allais être en retard pour l'école, son visage apparut dans mon esprit et je me raidis instantanément. Elle avait l'air si innocente,lorsqu'elle s'était déplacée dans ma chambre la nuit dernière alors pour me regarder baiser cette fille. Une farce. Elle faisait semblant. J'en étais très certain Faisant une note mentale pour m'assurer de lui rendre la vie infernale même à l'extérieur de l'école, je fus choqué plus tard à l'heure du déjeuner en entrant dans la cafétéria de voir non seulement des gens assis autour d'elle, mais elle et Nadia étaient assises à la table populaire. À ma table. Ça m'a fait voir rouge et j'ai marché vers la table, claquant ma paume avec un grognement qui a fait sursauter tout le monde assis à cette table. — Qu'est-ce que cette chose fait ici ? J'ai pointé vers Jasmine et la foule qui l'avait bombardé de questions sur le fait d'être la fille de Russo, s'est soudainement tu et Jasmine a essayé de détourner le regard, les yeux s'élargissant de peur. Il était clair qu'elle n'attendait rien de moi excepté la paix. Quand j'ai regardé le reste de mon gang assis à la table et qu'ils ont tous évité mon regard, j'ai su que l'un d'eux l'avait invité. Eh bien, celui qui l'a fait avait fait un excellent travail. En marchant vers elle, je me suis penché et j'ai souri. — Sur le toit. Maintenant. Ou préférerais-tu que nous ayons notre conversation ici ? Lui demandai-je Secouant rapidement la tête, elle m'a suivi à l'étage plus précisément sur le toit. — N'as-tu rien à me dire, Scott ? j'ai grogné quand elle continuait à me regarder sans dire un mot et elle a tressailli, les yeux déjà humides. — Je ne voulais pas entrer dans ta chambre, je le jure. Je voulais juste t'inviter pour le dîner qui était prêt. Elle bégaya et je ricana. Oh, elle jouait très bien à ce jeu de rôle. — Donc tu es entrée dans ma chambre pour m'inviter pour le dîner ? Elle hocha la tête et je fis un pas menaçant en avant, appréciant comment elle reculait, toute intimidée par moi. — Et quand tu as vu que j'étais occupé, pourquoi n'es-tu pas repartie aussitôt ? Ses yeux se sont encore écarquillés et j'ai souri, sachant que j'avais raison. Elle nous avait effectivement regardé. Jasmine Scott était une petite salope parmi tant d'autres. — Je ne voulais pas. S'il te plaît, pouvons-nous ne pas parler de ça ? Elle chuchota, son visage rougissant et je grognai, la tirant vers moi en la tenant par le bras — Donc, non seulement tu entres dans ma chambre, sans permission, mais tu oses me regarder lorsque je baise une perverse, en plus de cela tu as déjà des fans en utilisant le nom Morales pour te faire des amis puisque tu es assez pathétique pour ne pas en avoir eu de décent auparavant ? Petite merde ! Elle gémit, essayant en vain de se libérer de mon emprise et alors qu'elle ouvrait la bouche pour répondre, la cloche sonna pour indiquer la fin de la récréation. — Laisse-moi partir, s'il te plaît elle chuchota. — Ne t'assois plus jamais à cette table à nouveau, m'as-tu entendu ? Tu n'appartiens pas à cette classe de personnes qui devraient s'asseoir à cette table, ni à l'école ni dans la maison de mon père non plus, crachai-je et quand je lui ai lâché le bras, elle s'enfuit sans se retourner, disparaissant en bas de l'escalier. En rentrant chez moi, je me demandais quelle serait la meilleure façon de me comporter avec elle afin d'avoir la possibilité d'entrer dans sa chambre. Décidant de rendre coup pour coup, je souris malicieusement en montant l'escalier et en passant devant sa chambre. Puisqu'elle trouvait mignon d'entrer dans ma chambre comme bon lui semblait, j'allais faire de même et je lui laisserai aussi un petit cadeau afin de lui rappeler sa place. Ignorant la gouvernante quand elle me disait que Camila m'avait encore invité à dîner carj'avais besoin qu'elle me laisse tranquille et qu'elle abandonne déjà l'idée d'être une belle-mère exemplaire. Je suis donc sorti et j'ai attrapé une souris morte, attendant le soir après le dîner. Utilisant une épingle pour déverrouiller la poignée de sa porte quand je l'ai trouvé verrouiller, je suis entré dans sa chambre et je me suis dirigé directement vers son lit pour y déposer son cadeau, tout en souriant de toutes mes dents en imaginant à quel point elle serait horrifiée en trouvant son cadeau. Regardant autour de la chambre, j'allais partir quand j'ai entendu la douche couler. Jasmine était là! Je me dis Curieux, j'ai marché sur la pointe des pieds dans le couloir de la salle de bain et ma bouche s'est ouverte en grand en regardant Jasmine fredonner sous la douche, toute nue comme le jour où elle est née. Et merde. J'avais toujours voulu savoir à quoi elle ressemblerait sans ces vêtements décents qu'elle portait. À ma grande surprise, elle était plus pulpeuse que je n'aurais pu l'imaginer. Ma bite a tressailli en regardant ses seins et j'ai lutté contre l'envie de sortir ma bite et de la caresser à l'instant. En sortant de sa chambre, j'ai gémi et enlevé mes vêtements, entrant dans la salle de bain. J'ai essayé de me rappeler la raison pour laquelle je détestais Jasmine Scott et j'ai frotté mes mains autour de la barre de savon mais cela n'a pas empêché mon esprit d'imaginer ce qui se passerait si elle s'offrait volontaire pour me sucer la bite. Cela ne m'a pas empêché de me demander comment serait le goût de ses seins ou de sa chatte. — Merde ! grognai-je, laissant la fantaisie prendre forme même si juste la pensée de Jasmine Scott me faisait bouillir le sang. Je l'ai imaginé dans une petite jupe comme celle qu'elle avait porté alors qu'elle se tenait maladroitement dans ma chambre, agenouillée devant moi, ses seins presque débordant d'un petit haut comme ceux que les salopes de l'école portaient habituellement pour attirer mon attention, mon gonflement montant et descendant dans un rythme régulier. — Va te faire foutre, Jasmine. murmurai-je en cédant à l'imagination. Je tenais fermement ma bite, me rappelant comment ses grands yeux verts s'étaient écarquillés devant la taille impressionnante de ma bite, et j'ai imaginé qu'elle ne s'était pas enfui mais s'est plutôt rapproché de moi pour envelopper sa main autour de ma bite. Je pris une profonde inspiration, battant plus rapidement ma queue et gémissant en imaginant qu'elle prenait le bout dans sa bouche que j'imaginais si douce. Appuyant ma tête contre les carreaux de la salle de bain alors que l'eau me tombait dessus, je gémissais en plongeant davantage dans mes imaginations, prenant plus de ma bite. Mes pensées menaçaient de se briser alors que je balançais ma bite d'avant en arrière dans ma main, gémissant et allant encore plus vite. — Oui, baise. Oui, je l'imaginais attraper mes fesses et aller encore plus vite, ma bite entrant et sortant de sa bouche et c'était tellement bon d'imaginer tout cela. Tellement bon que lorsque je visualisais atteindre le fond de sa gorge, je grognais. L'orgasme m'avait frappé comme un train et je gémissais en venant en jets brûlants sur ma main. Faire cela n'avait pas changé mes sentiments envers Jasmine. Je la voyais encore et toujours telle qu'elle était et selon moi, elle était juste comme ces autres filles. Peut-être même pire. Mais peut-être que je pourrais utiliser cela à mon avantage. Je ne voulais rien de plus que baisser ce besoin d'elle hors de mon système. Alors que j'enroulais une serviette autour de ma taille, mes plans de vengeance prirent un nouveau tournant. Je ferai de sa vie un enfer et obtiendrai toujours ce que je voulais d'elle. Et cela était que sa chatte se serre contre ma bite. Cela semblait être un marché équitable, compte tenu de ce qu'elle et sa mère avaient fait pour piéger mon père, et je souriais avec délice à cette idée là.