Chapitre 7 Juste le début

Le lendemain, au petit déjeuner, j'aidais ma mère à dresser la table quand Hardin est soudainement venu à la salle à manger. Ma mère avait l'air d'avoir vu un fantôme ou peut-être l'avait-elle vu pour de vrai car depuis que nous avions emménagé dans cette maison, Hardin avait refusé de manger avec nous à la même table, préférant soit manger dans sa chambre soit sortir pour manger, ce qui avait beaucoup attristé ma mère et l'avait rendue très malheureuse de voir qu'il n'avait toujours pas accepté son mariage avec son père. — Oh, Hardin, c'est un réel plaisir de vous avoir avec nous ce matin pour le petit déjeuner. Asseyez-vous, je vous en pries, avait-elle dit. — Merci, répondit-il, sa voix profonde d'une manière qui me fit frissonner et je ne pouvais pas m'empêcher de le regarder, incapable de détourner mon regard de sa face. Ses cheveux d'ébène étaient humides, indiquant qu'il venait de prendre une douche et comme la chemise qu'il portait épousait ses biceps associés à un pantalon ample, je ne pouvais pas nier que Hardin Morales était probablement l'un des hommes les plus magnifiques que j'avais jamais vu. Mais alors, cette beauté ne signifiait rien quand je me souvenais que derrière ce visage et ce corps presque parfait se cachait quelqu'un qui me détestait, mais pas seulement moi mais ma mère également. De plus, il intimidait les gens et traitait tout le monde comme s'ils étaient la poussière sous ses pieds. Assis en face de lui, je levai un sourcil lorsque Russo nous rejoignit à table. Ses yeux s'élargirent de surprise et il semblait être ravi que Hardin s'est joint à nous pour le petit déjeuner. — Hardin, tu t'es joins à nous aujourd'hui. Quelle surprise! S'exclama Russo et je luttai contre l'envie de rouler des yeux quand Hardin hocha innocemment la tête. — Exactement, murmurai-je à voix basse et regardai ses lèvres s'étirer en un sourire narquois, entendant clairement ce que j'avais chuchoté et je fronçai aussitôt les sourcils. Pourquoi était-il ici ? Je me le demandais. Certainement, après avoir laissé tomber ce rat mort qui était son idée de bienvenue, il n'avait pas bien dormi et s'était réveillé pour s'apercevoir soudainement qu'il était prêt à devenir brusquement une grande famille heureuse avec nous. Russo et ma mère pouvaient être facilement trompés mais me concernant, pas si facilement. Hardin était là pour aucune autre raison que lui-même. J'étais sûre qu'il cachait quelque chose dans sa manche. Mais je ne savais pas quoi et cela me rendait très anxieuse. Je me souvenais à peine avoir dormi, craignant qu'il entre dans ma chambre et fasse quelque chose de méchant à nouveau dans la chambre ou avec moi. En parlant de ça, je devais changer la serrure de ma chambre. — Alors, Hardin, dis-moi, comment se passe l'école ? demanda Russo et il haussa les épaules, pour dire qu'il n'en avait aucune idée avant d'ajouter — Bien, je suppose. Tu devrais demander à Jasmine. Nous avons appris à nous connaître, mentit-il avec aisance et je vis les yeux de ma mère s'illuminer de joie sans se rendre compte qu'il disait que des mensonges Je m'étouffai avec ma boisson et mes yeux s'élargirent quand il me fixa du regard, me défiant de le contredire. — Vraiment ? Jazz, tu n'as rien dit à propos de Hardin et toi quand je te l'avais demandé. Ma mère assise à côté de moi me frotta le dos affectueusement et je feignis juste un sourire, incapable de mentir, contrairement à certaines personnes, de Hardin en particulier. — Oh, elle n'a rien dit ? Nous devenons de bons amis. Je lui ai même laissé un cadeau hier soir en vue de l'accueillir de façon formelle au sein de la famille. Je toussai et les yeux de ma mère s'élargirent en me regardant puis elle me frotta à nouveau le dos de manière affectueuse. — Mon Dieu, ça va, ma chérie ? demanda-t-elle et je vis le visage inquiet de Russo. Hardin, cependant, souriait si largement que je compris pourquoi il était descendu pour nous rejoindre pour le petit déjeuner. Je réalisai enfin la raison pour laquelle Hardin était là. Il voulait voir ma réaction au petit cadeau qu'il avait laissé la nuit dernière sur mon lit. J'aurais dû savoir qu'il préparait quelque chose de malveillant. Faisant signe à ma mère de ne pas s'inquiéter pour moi, j'acquiesçai et me raclai la gorge. — Oui, ça va et Hardin n'a été que accommodant, répondis-je. J'espérais que le sarcasme dans le son de ma voix lorsque je donnais ma réponse n'était pas trop fort et que de la façon dont ma mère souriait, elle avait cru à mon mensonge. — C'est merveilleux, répondit Russo, avant d'ajouter, — les enfants, Camila et moi allons partir en voyage ce week-end et nous reviendrons dimanche, serez-vous à l'aise sans nous ? Mon visage pâlit et je regardai Hardin qui ne semblait pas du tout être dérangé par cette nouvelle. Je ne pouvais pas rester seule dans cette grande maison avec Hardin uniquement vu que les femmes de chambre ne comptaient pas car elles restaient dans leurs quartiers sauf si elles devaient travailler et elles ne se souciaient pas de ce qui se passait à l'étage. Surtout quand il était censé n'y avoir que des frères et sœurs dans la maison. Qu'est-ce qui pourrait arriver de pire selon elles? Mais Hardin ne me voyait pas comme une sœur, et c'est ça le véritable problème. Je ne savais même pas que je suis pour lui dans ses pensées. Et je n'étais pas prête à le découvrir. — Tout le week-end ? demandai-je avec tremblement et ma main se resserra sur la fourchette que je tenais lorsque ma mère hocha la tête pour dire oui. — Pourquoi ? Hardin sera là donc tu ne seras pas toute seule. Nous serons de retour demain soir, je te le promets, me rassura ma mère. Je suis sûre que le sourire sur mon visage ne ressemblait pas du tout à un sourire et je lança un bref regard à Hardin qui ricana et croisa les bras. — En fait, j'ai des projets. Je ne sais pas quand je reviendrai cependant, répondit Hardin et je cachai mon soulagement. — Vraiment ? Seras-tu à l'aise toute seule alors, Jasmine ? demanda Russo et j'acquiesçai immédiatement, feignant rapidement la tristesse que Hardin allait partir. — Je veux dire, c'est une grande maison et ce ne sera pas amusant sans Hardin mais j'irai bien. J'ajoute immédiatement. Je savais que je mentais, ce serait absolument amusant ! Bien évidemment. Après le petit déjeuner, j'ai fait signe d'aurevoir à ma mère et à Russo quand ils étaient sur le point de partir. Hardin était aussi s'en est allé plus tôt et j'ai célébré en allant dans ma chambre. Enfin, je pouvais me reposer. J'ai passé le reste de la journée à me préparer pour l'école et à faire mes devoirs et aussi j'ai fait un appel vidéo avec Nadia, ensuite j'ai fait une petite sieste après le coucher du soleil. À mon réveil, j'ai crié de surprise en voyant Hardin assis dans le canapé qui se trouve dans ma chambre, les bras croisés alors qu'il me fixait droit dans les yeux.. Je n'étais vêtue que de ma chemise de nuit et j'ai tiré les couvertures pour me protéger de son regard foudroyant. — Que fais-tu ici ? Tu as dit… Je n'ai même pas terminé ma phrase qu'il m’interrompit en disant, — Oui, j'ai menti. Réveille-toi, Jasmine. Pourquoi vais-je gâcher cette belle opportunité de jouer avec toi sans que nos parents ne nous entendent ? Mon visage pâlit d'horreur quand il se leva et me tira du lit pour me faire face et son regard s'assombrit lorsqu'il me fixait. — Qui aurait cru que tu avais de si beaux seins et un si beau cul ? Tous ces atouts se cachaient derrière tes vêtements, n'est-ce pas ? Mon visage pâlit quand je réalisai qu'il m'avait certainement regardé nue dans la salle de bain et son sourire s'élargit. — Oui, Jasmine. J'ai regardé et maintenant que je l'ai fait, je veux y goûter. J'ai essayé de reculer d'un pas mais il m'a tiré contre lui, me poussant sur le lit. Puis il déchira de force ma chemise de nuit. — Pourquoi m'as-tu regardé baiser quelqu'un d'autre et n'as-tu pas bougé. Tu as dû aimer ça, n'est-ce pas, petite salope ? — S'il te plaît, arrête, ai-je gémi, essayant de le repousser quand il m'a pincé le mamelon et m'a ensuite giflé. — Maintenant, nous pouvons le faire à ma façon ou à ta façon peu importe mais je goûterai quand même à ce pour quoi je suis venu ici. — S'il te plaît, non, j'ai supplié mais il avait déjà épinglé mes mains au-dessus de ma tête avec l'une de ses mains, et l'autre descendant le long de mon corps pour toucher mon clitoris. Je me suis figée lorsque la sensation étrangère m'a secoué et j'ai lutté contre les larmes qui coulaient de mes yeux car au fond de mon cœur, je ne voulais pas que tout cela se produise. — Regarde-toi. Tu dis une chose et ta chatte en dit une autre, me répondit-il. Descendant, il a aspiré un de mes mamelons dans sa bouche et j'ai gémi lorsque ses doigts ont réussi à trouver mon point-G. Avant que je ne m'en rende compte, il a déjà glissé deux de ses doigts dans mon humidité serrée, me doigtant avec force. — S'il te plaît, Hardin, arrête ça, j'ai supplié, avec des larmes coulant sur mon visage, mais il en n'avait rien à foutre, ma douleur lui importait peu. — Tais-toi ou je vais mettre ma bite dans ta bouche, salope. Il a ensuite accéléré et j'ai à nouveau gémi lorsque cette sensation étrangère m'a saisie de nouveau. — S'il te plaît. J'ai supplié à nouveau et il s'est figé, me giflant une fois de plus tout en baissant son pantalon pour révéler sa bite si longue et dure. Consternée par la vue de cette bite monstrueuse, j'ai essayé de m'enfuir. Malheureusement, Hardin a été rapide plus que moi et m'a rattrapé Me ramenant à nouveau sur le lit, il a tenu mes mains derrière mon dos avec toute sa force, il a ensuite forcé ma bouche à s'ouvrir et y a poussé sa bite à l'intérieur. — Ah, merde, mumurra t'il de plaisir. Et avant même que je ne puisse bouger, il a maintenu ma tête en place et a commencé à baiser ma bouche, lançant ensuite sa tête en arrière puis gémissant tout en me giflant à nouveau. Davantage de larmes ont coulé de mes yeux mais j'étais piégée incapable de faire quoi que ce soit jusqu'à ce qu'il s'arrête soudainement dans ma bouche et me regarde avec un sourire cruel puis me dit, — Je suis sur le point de jouir dans ta petite bouche intelligente et tu vas tout avaler. M'as-tu compris ? Il ne m'a pas laissé le temps de répondre, a maintenu ma tête en place alors que son sperme remplissait ma bouche. Il a attendu que j'avale chaque goutte avant de me libérer et je suis aussitôt tombée sur le lit, sanglotant. En remontant sa fermeture éclair, il s'est précipité à la porte, puis s'est arrêté soudainement, s'est retourné et m'a regardé avec un sourire narquois. — Ne t'avise même pas à raconter quoi que ce soit à quelqu'un de ce qui vient de passer, sinon, ta mère et toi en souffrirez. Et surtout, prépare toi vu que ce n'est que le début.