Chapitre 8 : La pervesité de Hardin
Point de vue de Hardin
Je me suis directement dirigée vers la douche après avoir quitté la chambre de Jasmine, j'ai ensuite enlevé mes vêtements et posé ma tête contre le mur alors que les filets d'eau chaude coulaient le long de mon dos.
Mon esprit est retourné à l'horreur que j'avais vu dans les yeux de Jasmine lorsqu'elle me regardait tout en me suppliant, et aussi à la façon dont son corps s'était raidi de peur et comment elle avait essayé de fuir de moi, ses yeux confus et effrayés quand je l'ai touché et cela m'a fait me poser la question de savoir si elle était vierge.
Étais-je le premier pour elle? Était-ce pour cela qu'elle était si résistante envers moi? Ou était-ce parce que j'étais son demi-frère et que je faisais avec elle pouvait se définir en inceste.
Je ne comprenais pas la raison pour laquelle au lieu de ressentir du plaisir et de la satisfaction en la voyant se tortiller et me supplier d'avoir pitié d'elle, mais au lieu de cela, en la voyant ainsi ne voulant pas du tout ce que j'étais sur le point de lui faire, et en ressentant cette humidité serrée de son vagin tout en voyant ces gros seins, je me sentais coupable pour ce que j'étais sur le point de lui faire.
Pourquoi diable avais-je l'impression que je n'aurais pas dû lui faire cela?
Elle le méritait. Elle méritait tout ce qui s'était passé ce soir-là et même le rat mort posé sur son lit hier. Il ne faut pas que ses yeux innocents me fassent croire le contraire. Elle n'était pas la victime c'est clair car c'est mon père et moi qui étions les victimes du stratagème de sa mère auquel je suis sûr qu'elle était complice.
Si elle ne voulait pas que cela lui arrive, alors elle aurait dû rester loin de ma maison et surtout de ma chambre. Elle aurait dû dire à sa mère la vérité selon laquelle je n'étais pas un bon demi-frère avec qui vivre et mettre en garde sa mère à mon sujet.
Mais au lieu de cela, qu'avait-elle fait lors du petit-déjeuner ce matin? Elle avait accepté mes mensonges et en souriait. Cette garce avait souri et mon père lui avait souri en retour. Ils avaient tous l'air d'une grande famille heureuse sans moi!
Et personne n'a le droit de se moquer ainsi de moi.
Fronçant les sourcils, j'ai pris mon sexe en main, le sentant durcir à nouveau vu que je pensais à Jasmine. Je me rappelais à quel point ses seins étaient doux et gros, à la manière dont sa chatte était mouillée quand j'y enfonçais mes doigts. À quel point sa voix sonnait comme de la musique à mes oreilles. À cette façon dont sa bouche était chaude autour de mon sexe alors que je le poussais dedans et dehors et comment ses seins avaient rebondi alors qu'elle s'étouffait autour de mon sexe.
J'étais dur comme une putain de pierre et j'ai grogné. Jasmine était l'ennemie. Et c'était juste moi qui profitais de mon ennemie exactement comme elle profitait actuellement de ma famille.
Il faut que je me rappelle de cela.
J'ai serré mon sexe, me rappelant comment les grands yeux verts de Jasmine s'étaient écarquillés devant la taille impressionnante de mon sexe quand je l'ai sorti de mon jean et l'ai forcé à genoux et ai pompé une fois.
J'ai pris une profonde inspiration, battant mon sexe plus rapidement et grognant en me rappelant la manière dont je l'avais enfoncé dans sa bouche jusqu'au fond de sa gorge.
Oui, elle n'avait pas à me faire me sentir coupable alors que c'était elle qui avait commencé tout ça. D'abord, en me répondant à la cafétéria de l'école. Deuxièmement et surtout, en ayant le culot de forcer son chemin dans ma famille.
Appuyant ma tête contre les carreaux de la salle de bain alors que l'eau me coulait toujours dessus, j'ai gémi en l'imaginant, prenant plus de mon sexe et mes pensées menaçaient de se briser alors que je me balançais d'avant en arrière dans ma main, gémissant et bougeant encore plus vite. C'était ce qu'elle méritait. Être traitée comme la pute qu'elle était.
— Oui, baise. Oui Cette fois, au lieu de forcer sa tête à rester, je l'ai imaginé attrapant mes fesses et bougeant encore plus vite, mon sexe entrant et sortant de sa bouche et c'était tellement bon d'imaginer cela. Mon sexe se sentait comme du putain de granit dans ma main alors que je pompais impitoyablement, mes gémissements résonnant dans la salle de bain. Mais ce qui m'a fait basculer, c'était d'imaginer mon sexe à l'intérieur de sa chatte serrée et humide. J'ai secoué, l'orgasme me frappant fort et vite alors que je venais sur le mur de ma salle de bain.
Enfilant une serviette après avoir fini dans la salle de bain, je me suis dirigé directement vers le frigo de ma chambre et j'en ai sorti une bouteille de vodka.
Buvant directement à la bouteille, je me suis assis sur mon lit et ai combattu l'envie de ressentir le moindre iota de sympathie pour Jasmine. Pour être honnête, je l'avais averti le jour du mariage que je lui montrerais l'enfer si elle ne partait pas.
Je ne me souvenais pas d'avoir dormi, mais quand j'ai ouvert les yeux, j'ai tressailli. La gueule de bois me frappant fort et j'ai plissé les yeux, me précipitant dans la salle de bain pour prendre un bain.
Alors que je descendais pour dire à l'une des femmes de chambre de me préparer une soupe pour guérir ma gueule de boire, je me suis arrêté devant la porte de la chambre de Jasmine, hésitant à ouvrir la porte.
Oh, allez, Hardin, assez de ces conneries. Ne sois pas faible. Elle est une opportuniste comme sa mère. N'oublie jamais ça, me suis-je dit
En entrant, je l'ai trouvé assise par terre à côté de son lit, portant des vêtements différents ce qui signifiait qu'elle s'était douchée après je sois sortie de sa chambre.
Ses genoux étaient remontés contre sa poitrine et elle avait croisé ses bras dessus, sa tête reposant sur ses bras.
— Lève-toi et brille, Jasmine. ai-je dit d'une voix chantante qui sonnait même creuse pour moi et quand elle a relevé la tête, j'ai serré les poings, me rappelant que tout ce qu'elle faisait n'était que du cinéma.
Ses yeux étaient rouges et enflés, ce qui voudra signifier qu'elle avait pleuré toute la nuit et lorsqu'elle a levé les yeux pour me regarder, on aurait dit qu'elle ne me voyait même pas mais regardait à travers moi.
Nous ne pouvions pas avoir ça si tôt dans notre jeu, n'est-ce pas?
— Ne me dis pas que tu es comme ça à cause du plaisir que nous avons eu la nuit dernière? N'est-ce pas? Lui demandai-je
Elle n'a pas répondu, a juste continué à me regarder comme si j'étais un fantôme qui se tenait devant elle et lorsque j'ai grogné, elle a tressailli et s'est serrée encore plus fort.
Fronçant les sourcils, je suis retourné dans ma chambre et j'ai appuyé sur la sonnette pour que la femme de chambre monte plus tôt avec la soupe.
Jasmine essayait de ruiner ma journée et je ne le lui permettrais pas.
Appelant rapidement les jumeaux pour qu'ils viennent à la maison, je suis descendu pour les accueillir environ une heure de temps plus tard, me sentant mieux après avoir pris la soupe contre la gueule de boire.
— Yo! Quoi de neuf? On est venu ici pour nager mec! a dit Alex avec enthousiasme et j'ai roulé des yeux, les menant jusqu'au bord de la piscine.
Sandro n'a pas perdu plus de temps avant de sauter dans la piscine. Quant à Alex, il s'est assis à côté de moi sur la chaise longue et a levé un sourcil.
— Alors, comment ça fait d'avoir une sœur, frérot? Il a plaisanté et quand j'ai grogné, il a levé les mains en signe de d'excuse.
— Je demande juste. Je veux dire, te connaissant, tu lui a certainement déjà fait des trucs dégueulasses afin de lui montrer qui est le patron dans cette maison, n'est-ce pas?
J'ai haussé les épaules, pas intéressé à m'expliquer à Alex car à la fin de la journée, c'est moi qui décidais et il n'était que mon larbin, pas l'inverse.
— Hé, on peut avoir des snacks? a appelé Sandro depuis la piscine et j'allais appeler la femme de chambre quand une idée brillante m'est venue à l'esprit. Peut-être que c'était l'occasion de montrer à mes amis que j'étais effectivement le patron dans cette maison.
— Attendez une minute. Je leur ai dit et je me suis dirigé directement vers la chambre de cette garce de Jasmine.
Elle était toujours là où je l'avais laissé et quand j'ai grogné à nouveau, elle a tressailli, hoquetant tout en essuyant ses yeux tout mouillés.
Franchement, je savais que c'était juste une mise en scène de sa part.
— Lève-toi et apporte depuis la cuisine des collations à la piscine. Ce sera pour trois personnes.
— Laisse-moi tranquille, murmura-t-elle, sans même lever les yeux pour me regarder. Je traversai la pièce et la tirai debout, rempli de joie lorsqu'elle trembla, les yeux grands ouverts de peur. Exactement comme je la voulais. Soumise et effrayée.
— Qu'as-tu dit ? grognai-je et elle secoua la tête, toute tremblante.
— Bien. Si tu ne veux pas revivre la nuit dernière à l'instant même, viens à la piscine avec des collations pour les jumeaux et moi. Alex et Sandro, tu les connais, n'est-ce pas ?
Je n'attendis pas qu'elle réponde, me retournai et me rendit à la piscine.
— Et les collations, frérot ? me demanda Alex et j'en souris.
— Elles arrivent très bientôt, répondit-je
Alex était en train de me parler d'une de ses dernières conquêtes lorsqu'il s'arrêta subitement en plein discours pour ouvrir la bouche en état de choc.
Je me retournai pour voir ce qu'il regardait et mon sourire revint lorsque je vis s'approcher de nous Jasmine, la tête baissée, probablement pour cacher son visage enflé de pleurs, portant dans sa main un plateau de collations et de boissons.
— Tu la fais courir pour toi ? demanda Sandro depuis la piscine et je haussai les épaules, attendant qu'elle dépose le plateau sur le tabouret devant Alex et moi.
Elle se tourna pour partir mais je grognai.
— Reste, ordonnai-je et mon sourire s'élargit lorsqu'elle s'arrêta immédiatement et se tourna vers moi.
— Désires-tu autre chose ? Me demanda t'elle.
— Non. Va, acquiesçai-je en la regardant s'éloigner. Elle était presque à la porte de la maison pour rentrer à l'intérieur lorsque je criai son nom et elle se s'arrêta aussitôt à nouveau.
— Compte jusqu'à trois avant d'entrer dans la maison, lui dis-je
Je vis ses lèvres trembler mais elle obéit à mon ordre avant d'entrer dans la maison.
Ce n'était que le début, Jasmine Scott. Ce n'était que le tout début.